Alors que les Russes approchent d’Auschwitz où elle est internée, Simone Veil est évacuée le 18 janvier 1945 vers le camp de Dora et connaît donc les « Marches de la mort ». Elle évoque dans son témoignage les conditions de transports épouvantables, le froid, la faim, la crainte d’être exécutée, mais aussi l’instinct de survie des déportés.